Après une année 2020 marquée par la crise Covid, l’année 2021 affiche un solide rebond de +24% pour atteindre un chiffre d’affaires de 7,6 milliards d’euros contre 6,1 milliards en 2020.
Le display est lui-même sub-divisé entre les marchés de l’édition (592 M€, +21,7%), le Retail Display (245 M€, +24,8%), les TV&Radios (213 M€, +25%) et surtout le streaming audio et vidéo, qui affiche une solide croissance de +55% pour atteindre 450 M€.
Par format, ce sont d’ailleurs les formats vidéo (693 M€, +46%) et audio (48 M€, +58%) qui affichent les plus fortes croissances, loin devant les opérations spéciales (203 M€, +28%) ou les traditionnelles bannières (557 M€, +16%).
Le segment du « Search » est lui même sub-divisé entre le retail Search (+56%), et le Search traditionnel. Selon Oliver Wyman, plus de 70% des recettes sont désormais réalisées sur téléphone mobile.
Le segment du « social » est pour sa part marqué par la montée en puissance de la vidéo, en croissance de +58%, et qui pèse désormais 35% de ce segment. 95% des recettes sont réalisées sur mobile. Enfin, le +10% pour l’affiliation, +3% pour l’emailing, et +8% pour les comparateurs.
En se limitant aux recettes du Search et du Social, le mobile représente ainsi plus de 53% du marché de la publicité digitale. Et en évaluant le poids du mobile aux 2/3 des segments « display » et « autres », on peut même estimer que ce levier représente désormais près des 3/4 du marché.
Selon Oliver Wyman, le marché pourrait connaitre une croissance de 18% en 2022 pour atteindre la barre des 9 milliards d’euros cette année malgré les incertitudes juridiques (RGPD, consentement, DSA, ..) et techniques (fin des cookies tiers), qui pèsent sur ce marché.
« La publicité digitale a doublé de taille en 5 ans. Peu de marchés ont connu une telle croissance ces dernières années souligne Emmanuel Amiot, Consultant chez Oliver Wyman.Dans le détail, le marché de la publicité digitale reste dominé par le Search (3,2 milliards d’euros, en croissance de +28%), le Social (2 milliards d’euros, en croissance de 22%), le display (1,5 milliard, +31%) et enfin les « autres leviers » à 890 millions d’euros, en croissance de +8%.
Le display est lui-même sub-divisé entre les marchés de l’édition (592 M€, +21,7%), le Retail Display (245 M€, +24,8%), les TV&Radios (213 M€, +25%) et surtout le streaming audio et vidéo, qui affiche une solide croissance de +55% pour atteindre 450 M€.
Par format, ce sont d’ailleurs les formats vidéo (693 M€, +46%) et audio (48 M€, +58%) qui affichent les plus fortes croissances, loin devant les opérations spéciales (203 M€, +28%) ou les traditionnelles bannières (557 M€, +16%).
Le segment du « Search » est lui même sub-divisé entre le retail Search (+56%), et le Search traditionnel. Selon Oliver Wyman, plus de 70% des recettes sont désormais réalisées sur téléphone mobile.
Le segment du « social » est pour sa part marqué par la montée en puissance de la vidéo, en croissance de +58%, et qui pèse désormais 35% de ce segment. 95% des recettes sont réalisées sur mobile. Enfin, le +10% pour l’affiliation, +3% pour l’emailing, et +8% pour les comparateurs.
En se limitant aux recettes du Search et du Social, le mobile représente ainsi plus de 53% du marché de la publicité digitale. Et en évaluant le poids du mobile aux 2/3 des segments « display » et « autres », on peut même estimer que ce levier représente désormais près des 3/4 du marché.
Selon Oliver Wyman, le marché pourrait connaitre une croissance de 18% en 2022 pour atteindre la barre des 9 milliards d’euros cette année malgré les incertitudes juridiques (RGPD, consentement, DSA, ..) et techniques (fin des cookies tiers), qui pèsent sur ce marché.